Autrement dit, le décret pris par le gouvernement décide des magasins qui peuvent rester ouverts et de ceux qui doivent fermer. Dès lors, la police n'a pas son mot à dire sur ce que vous y achetez.
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Les autorités, elles, reconnaissent parfois des maladresses, mais appellent à tenir compte du contexte. "Une personne qui passe dix fois acheter un article, même de première nécessité, ça fait beaucoup", explique-t-on du côté de la police.
Alors déjà, "maladresses", au vu des infos que l'on a vu passer ces derniers jours, c'est une litote, pour ne pas dire autre chose. Ensuite, ces gens ont-ils pensé que tout le monde n'a pas les moyens (financiers et logistiques) de stocker des "produits de première nécessité" pour 15, voire seulement 8 jours ?