« Il faut retrouver notre souveraineté juridique » sur la question des migrations, a-t-il lancé à l’auditoire, et ne pas être « menacés en permanence d’un arrêt ou d’une condamnation de la Cour de justice européenne ou de la Convention des droits de l’homme, ou d’une interprétation de notre propre institution judiciaire ». En substance, a résumé sa formation politique dans un tweet, Michel Barnier ne veut plus que les Français soient « soumis aux arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne ou de la Cour européenne des droits de l’homme ».
Déplorable.