Une lettre qu'Arrêt sur images s'est procurée (et que nous reproduisons en intégralité au pied de l'article) dans laquelle les patrons de chaînes s'alarment "des conséquences graves qu’aurait l’adoption de telles dispositions pour l’économie des secteurs que nous représentons."
Oh bin oui didonc. Et si les pauvres en crèvent, de ce qu'ils bouffent, tant pis pour eux, z'avaient qu'à manger des sushis bio ces cons là.