Quoi qu’il en soit, la mise en exploitation du labo a lieu en janvier 2018. Elle coïncide avec la première visite d'État d’Emmanuel Macron à Pékin. Mais dès le début un doute s’installe sur sa fiabilité. Selon le Washington Post, en janvier 2018, des membres de l’ambassade américaine visitent les locaux et alertent Washington de l’insuffisance des mesures de sécurité prises dans un lieu où l’on étudie les coronavirus issus de chauves-souris.
Vous le voyez venir le contre-feu, le "on-pouvait-pas-prévoir-que-les chinois-laisseraient-s'échapper-le-virus ?"
Infoutus d'assumer quoi que ce soit.