Alors je vais quand même le dire, il y a truc qui me gêne considérablement dans cette histoire, au-delà même de la dégradation du service public hospitalier, au-delà du fait que tout le monde peut comettre une erreur d'appréciation, même un médecin, et que je n'ai pas écrit dans mon premier shaare sur le sujet, et que je m'étonne de ne pas voir encore abordé : quelle est, exactement, la part du racisme dans cette histoire ? Dans quelle mesure, si l'appelant avait été blanc, et voire même homme, aurait-il été davantage pris au sérieux ?