En montrant un peu de gameplay, Ubisoft a réussi à exciter la rédaction, qui a frôlé l'hystérie. Pour preuve, ces phrases glanées entre la machine à café et le spa encastré sept places : « Ça vaut le coup de tenter », « je pourrais y toucher », « un Assassin's Creed avec un skin Star Wars, je vomirais pas forcément ».
Pour un AAA* d’Ubisoft chez Canard PC, c’est ce qui est le plus proche d’une foule en délire. C’est aussi la preuve irréfutable que nous n’apprenons jamais. Ubisoft Massive aux commandes, un monde ouvert beau à mourir, des combats, de l’infiltration, ça ne vous rappelle pas un cahier des charges récent ? Oui, voilà, Avatar : Frontiers of Pandora, du même studio. C’est la puissance de la licence : un Star Wars en monde ouvert, un coin de nos cerveaux veut y croire. Le même qui se dit face à une place de stationnement d’un mètre : « En manœuvrant bien, ça passe. Large. »
Mais c'est TELLEMENT ça.