C’est dire si le pouvoir a eu peur. Samedi 8 décembre, certains des blindés de la gendarmerie disposés pour la première fois dans Paris étaient secrètement équipés d’un dispositif radical, qui n’aurait été utilisé « qu’en dernier recours » : une réserve de liquide incapacitant. Selon nos sources, la pulvérisation de ce liquide sur une foule de gilets jaunes aurait été capable de « les arrêter net, mettant les gens à terre, même avec des masques ». Chaque engin aurait pu « neutraliser » une surface de plusieurs terrains de football… « Heureusement, que l’on n’en est pas arrivé là », ajoute cette source haut placée dans le dispositif policier. « L’autorité politique », comme le disent les fonctionnaires, aurait approuvé l’éventuel emploi d’un tel produit, qui n’aurait été utilisé qu’en cas de « débordement ultime ». Une sorte de « dernier rempart », utilisable sur décision politique… Interrogée, la préfecture de police de Paris renvoie au ministère de l'Intérieur.
Ça porte un nom ce genre de truc : des armes chimiques. Évidemment, la gendarmerie dément.
Ça mériterait quand même s'être validé sérieusement cette info. Marianne est un peu seul sur le coup.
EDIT du 12/12 : Marianne maintient son information, la gendarmerie admet que ce type de produit "n'a jamais été utilisé en métropole"... ce qui veut donc dire qu'on s'en sert sur les racisés des DOM.
Oh ben tout va bien alors ?
https://twitter.com/MarianneleMag/status/1072532556485152768