Intéressant Fakir. Je viens de lire cette copieuse tartine de François Ruffin sur Daniel Mermet ; on est toujours dans le thème de mes shaare précédent : comment la gauche, une certaine gôche du moins, est capable de brûler ce qu'elle a adoré. Je truove que Ruffin brosse un portrait équitable d'un homme, d'une équipe, avec ses hauts, ses bas, ses bons côtés et ceux plus détestables. Pas de quoi faire un procès ni une chasse au sorcière. Juste un homme.