OGM : la décision d'autoriser ou non les OGM est désormais du ressort des États membres, et non plus de la Commission. Bonne nouvelle ? Mon cul. Concrètement, ça veut dire que si la France, depuis longtemps hostile aux OGM pourra les interdire sans risquer de sanctions, ça veut aussi dire que l'Espagne, l'Italie, la Pologne ou n'importe quel État membre souhaitant les autoriser pourra le faire tout aussi facilement... et libre-circulation oblige, ça se retrouvera fatalement dans nos assiettes. Vraiment, il n'y a pas de quoi se réjouir.