Ah, je ne suis pas le seul à avoir été choqué.
Mes 2 cents :
pourquoi est-il si difficile d'écrire "une personne noire" ou "un homme noir" ? Pourquoi ce besoin de toujours mettre un substantif devant "noir" ? Un "individu de couleur noire", ou le très malheureux "race noire" ? C'est comme si -c'est comme ça que je l’interprète pour ma part- on voulait atténuer l'annonce de la couleur, comme pour dire, "eh oh, j'ai bien vu qu'il était noir, mais comme j'suis pas raciste, je vais mettre de gros guillemets sémantiques autour du mot noir".
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales.
Tellement de mensonges en si peu de mots, c'est admirable. Mais on en reparlera une autre fois.
Le simple fait de préciser " sans distinction [...] de race" est en soi problématique, puisqu'il sous-entend que l'on pourrait, justement, distinguer des races...