Peut-être aussi parce que j'ai en mémoire ce terrifiant """"nous ne sommes pas du même camp"" du préfet-seigneur de guerre Lallement, celui qui commande en dernier ressort aux lanceurs de grenades. Peut-être parce qu'en entendant cette femme en appeler à la justice, sans majuscule, je ne peux qu'être de son côté, de son camp, pour parler comme Lallement. Tous les estropiés sont des estropiés de trop. Mais Manuel Timili est l'image incontestable de la terreur d'Etat qui s'abat sur des Français ordinaires.
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