Oups... un des libraires qui s'est bien fait de la pub en clamant bien fort qu'il refusait bien fort de vendre le bloc de papier avec des caractères imprimés dessus de Valérie T., vend d'autre choses pas très reluisantes...
"Soyons clairs, je ne reproche pas du tout à Xavier de Marchis – c’est son nom – de vendre ces bouquins, c’est son choix.
Il a le droit ! Je suis contre la censure.
Mais, quand on vend des bouquins aussi discutables idéologiquement (et il en a une flopée), j’ai tendance à penser qu’il ne faut pas venir donner de leçons."
[...]
"J’ai continué : ”Xavier, alors, soit vous vendez les deux (Trierweiler et les fachos), soit vous rejetez les deux, mais, moi, franchement je suis plus choqué que vous vendiez de tels auteurs et de tels textes, que Valérie T. Et vous, vous n’êtes absolument pas cohérent”."
Un joli pavé dans la mare, par Guy Birenbaum.
Et la fin n'est pas sans rappeler les excellentes explications de Kevin, données à propos d'autre chose, mais on y revient de plus en plus ces temps-ci :
"J’ai donc expliqué sagement à Xavier qu’en ce qui me concerne, je ne vois nulle “idée”, ni le moindre débat chez des gens qui me caricaturent mes coreligionnaires et moi avec le nez crochu, dans un journal nommé Présent et dont sa librairie fait la promotion, qu’il le sache ou non. Pas davantage chez les “identitaires” qui gueulèrent “Juif, la France n’est pas à toi” dans les rues de Paris."