Compterus de vitesse, montrant le nombre de tweets à la minutes à Paris, New-York, Londres, Barcelone, Tokyo...
Ce que Facebook vient de faire ne peut être ignoré ni balayé d’un revers de la main, et cracher dessus est parfaitement futile. Chacun doit trouver comment ajuster sa stratégie afin de prendre en compte ce qui pourrait bien être la fin du web 2.0 et le début du web 3.0 (au sens du web sémantique), car si le pari de Facebook réussi, c’est bien à un changement systémique majeur auquel nous avons à faire face.