"The Economist" échafaude lui aussi un scénario de guerre fondé justement sur le croisement entre la provocation de Kim Jong-un et le machisme impulsif de Donald Trump. Le scénario de "The Economist" se termine mal, puisqu'une frappe punitive américaine sur les installations militaires nord-coréennes provoque une attaque nucléaire de Pyongyang sur son voisin du Sud, et une riposte nucléaire américaine sur le Nord, tuant évidemment Kim Jong-un mais aussi des centaines de milliers de civils. Comme le souligne le magazine, "tout le monde serait perdant".
Ce scénario catastrophe, qui verrait ainsi le premier usage militaire du nucléaire depuis Hiroshima et Nagasaki en 1945 et sa relégation depuis au rang d'arme de dissuasion, peut sembler extrême, mais il n'est pas totalement irréaliste pour la première fois. D'abord parce que la Corée du Nord a réalisé de réels progrès non seulement dans sa maîtrise de l'arme nucléaire, mais aussi des technologies balistiques. Mais aussi parce qu'il n'existe, dans ce dossier, que des mauvaises solutions, et que le risque existe donc de choisir la pire.
Bien, bien, bien.
Il aurait été pris en charge par les gendarmes de Beaumont-sur-Oise que ça n'aurait pas été pire.
Pauvre gars.
Magnifique pays où l"on est soit soldat, soit sans abri (et peut-être l'un avant l'autre d'ailleurs) : la Corée du Nord.
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Voilà. Mais il n' y a pas de pétrôle en Corée du Nord. C'est con hein.
Au croisement de Staline et d'Orwell. Ce qui me frappe le plus dans cette histoire, c'est le visage poupin et "inoffensif" de Kim Jong-un...