En tout lisant, je me dit que j'ai vraiment tout loupé dans ce jeu ^^
Mais il est hors de question que je le refasse <_<
Et la fin avec les barrages de police ? T'as aimé la fin avec les barrages de police ? xD
Non, mais voilà, comme dit Liandri, on t'avait prévenu : ce jeu est un ratage complet, et c'est d'autant plus dommage qu'il semble avoir signé l'arrêt de mort de la licence, après un reboot pourtant très réussi.
Tu as évité l'attentat à la fin toi ? Bravo. Moi j'ai regardé la tour s'écrouler les bras (bioniques) ballants.
Je me refais un peu de pub ? Je me refais un peu de pub.
Signalé comme un trojan par Windows Defender.
Dommage.
EDIT : safe d'après l'auteur : https://steamcommunity.com/sharedfiles/filedetails/?id=534669482
Quelqu"un pour tester ?
En tout cas, cela montre une fois de plus que développement chaotique + déclenchement de la pompe à pognon = mauvais jeu.
"Code 4.04 : votre jeu est une erreur inattendue, désolé pour le désagrément."
On espère que vous avez aimé la série Deus Ex, parce que c'est fini.
C'est triste, mais si c'était pour avoir des suites aussi merdiques que Mankind divided, ben c'est pas une grosse perte.
A chaque quête secondaire que je commence, je décroche de l'histoire principale.
C'est exactement ça. Et déjà qu'elle n'est pas bien consistante, l'histoire principale...
Je vais dire une banalité, mais je suis en train d'écouter un nouveau podcast (HBGD), consacré à la question du scénario dans un jeu vidéo ; on ressent très fort l'amertume du type qui a participé à la rédaction des 1500 pages (si, si) de la "bible" de Remember me et dont le jeu final a conservé... rien. Et c'est là que j'ai eu cette révélation qui a bouleversé ma vie : un jeu vidéo, ce n'est pas un produit culturel. C'est un produit industriel. Fou hein ? De fait, quand Sony, puis Capcom dans le cas du jeu en question demandent "je veux un jeu avec plus d'actions, tu t'arranges pour mettre des combats", ben tu fous ton travail à la poubelle si ça ne colle pas. C'est celui qui paie qui décide.
Et pourquoi ? Parce que "celui qui paie" croit que ça plaira mieux aux joueurs d'avoir un mâle blanc comme héros plutôt qu'une femme noire, parce qu'il croit qu'il faut des scènes d'actions ratées plutôt que pas de scènes d'actions du tout pour faire un bon jeu, etc.
Après, pour en revenir à ce Deus Ex, je n'ai pas encore retrouvé le voyage rapide "à la Skyrim" ^^
Dans Skyrim, le voyage rapide a été critiqué car... trop rapide, il tue l'immersion. Tu cliques sur ta carte, et tu te retrouves à l'autre bout du monde connu. C'est nul, mais tu n'es pas obligé de t'en servir, tu peux encore faire le voyage à pied ou à pattes.
Dans Mankind divided, ils ont inventé... le voyage rapide lent ! Tu DOIS prendre le métro pour te rendre d'un quartier à l'autre de la ville (ce n'est pas idiot en soi, tout faire à pied aurait donné l'impression d'une toute petite ville), mais c'est tout le temps le MÊME métro, avec les MÊMES personnes à l'intérieur, et c'est long, c'est long... A ce niveau de nullité, un écran de chargement "normal" avec trois lignes de blabla serait presque mieux passé.
Très bon ça ^^
Au-delà de ça, ce qui déçoit, c’est l’incapacité de Deus Ex à réfléchir ce qu’il raconte. Bien sûr, c’est le cas de l’immense majorité des blockbusters, mais le constat est plus déprimant quand on s’appelle Deus Ex et que l’on s’inscrit dans l’héritage d’un jeu fondateur qui, dès 2000, annonçait pêle-mêle la parano ambiante post 11-Septembre, la psychose terroriste, Occupy Wall Street, le programme de Bernie Sanders et diverses problématiques transhumanistes. Deus Ex Mankind Divided, lui, se refuse à nous parler de demain pour mieux nous décrire l’aujourd’hui. Les augmentés reclus dans des ghettos, les contrôles au faciès, les affiches « Augmented lives matter » dans le métro… Evidemment, tout cela fait écho à l’actualité. Si Mankind Divided reste, ce sera, au mieux, comme un témoin de son époque davantage que comme une œuvre prémonitoire. Au pire, comme un bon jeu.
On n’a pas aimé :
- Adam Jensen au bout du rouleau
- Un jeu qui brasse des thèmes passionnants et n’en fait rien
- La VF très inégale et les dialogues assez médiocres
Y'a de ça. Quand je relis les commentaires extrêmement positifs d'autres sites (Gamekult par exemple), je me demande si on a bien joué au même jeu :/
Tiens, je voulais vous dire deux mots sur le dernier Deus Ex : Suis. Déçu.
Voilà, ça fait deux mots.
Bon, on va essayer de faire un peu plus que deux mots du coup, même si ce ne sera qu'un ressenti forcément subjectif.
Déjà, il y a un détail qui m'a frappé (aïe) il y a quelques jours : je regardais mes temps de jeu sur mon profil Steam (pitié, dites moi que je ne suis pas le seul névrosé à faire ça), et je me suis rendu compte que j'avais exactement le même temps pour Dishonored et pour Deus Ex Mankind divided, à savoir 26 heures. Sauf qu'en 26 heures, j'avais fini Dishonored et commencé une nouvelle partie, tandis qu'en 26 heures de DEMD, je ne faisais que commencer. (J'ai passé + de 50 heures sur Human Revolution...). Le problème, c'est que je garde de mes 26 heures de Dishonored un souvenir qui n'est pas proportionnel au temps passé ; j'ai l'impression d'avoir vécu beaucoup de choses, pendant ces 26 heures là.
En 26 heures de DEMD, je me suis emmerdé :O
Une (trop) grande partie du jeu tourne autour d'un hub : la ville de Prague, où l'on revient systématiquement quel que soit l'endroit où le jeu nous envoie (là où Human Revolution proposait 3 ou 4 grands découpages dans son scénario) et où on passe son temps à faire les courses pour les uns et les autres. A enchaîner les missions secondaires pendant des dizaines d'heures, on perd quand même vachement le souffle épique. C'est bien simple, ce n'est plus Deus Ex, c'est FedEx... Du coup, j'en suis rendu à accepter les missions à la chaîne pour m'en débarrasser. Des mafieux me demandent d'aller kidnapper un mec, ouais, ouais, j'y vais, pas la peine de m'expliquer pourquoi, je sais que je suis juste là pour ça. Et pour ce qui est de l'intrigue générale, pfff... j'espère encore être un peu surpris, mais pour le moment c'est tellement cousu de fil blanc que c'est à se demander s'ils ne l'ont pas fait exprès.
Les développeurs ont trouvé un super truc pour camoufler leurs temps de chargement apoplectiques : ils te foutent dans un métro. Et c'est comme dans la vraie vie, t'es debout comme un con pendant un temps qui s'étire interminablement, à regarder 3 types qui font comme toi, se demander ce qu'ils sont venus foutre là. Même que quand tu reprendras le métro deux heures plus tard, ben ils seront encore là. Voilà des PNJ bien constants.
Le gameplay est la seule chose qui sauve un peu ce jeu : on est dans un Deus Ex, on peut donc se greffer des lames à la place des bras, des yeux télescopiques à la Tex Avery ou des oreilles qui filtrent Céline Dion, c'est super. Sauf que niveau infiltration c'est pas tout à fait ça. En gros, on a le choix entre passer par la porte OU le conduit d'aération. Le FAMEUX CONDUIT que même Teddy Rinner il passe debout dedans tu vois ?!? Et le truc qui tue : il y a (au moins) 15 ans, dès le premier Splinter Cell, on pouvait porter les cadavres sur son dos, le gros truc de ouf. Histoire de les cacher dans un coin sombre. Ben là Adam "souleveur de frigos" Jensen, il est tout juste capable de les traîner par terre. E pour saisir, ZSQD pour se déplacer, C'EST TROP PRATIQUE, MERCY.
Sinon, il est bien ce jeu, achetez-le les yeux fermés.
Sinon vous verriez les textures dégueulasses, les miroirs qui ne reflètent rien...
...
Bon, je suis un peu dur. Il y a vraiment des moments sympas, le gameplay avec les extensions est vraiment bien, mais PUNAISE, c'est largement en-dessous de Human Revolution. Et les moments où l'on se sent enfin porté par l'intrigue et on fait un truc un peu cool sont trop rares et noyés au milieu du reste, et du coup, on ne se souviens que des passages où l'on s'est fait chier. C'est dommage.
Acheté ! (mais je n'avais pas vu ton shaare)
Je poursuis sur mon élan dans Wasteland 2 avant de passer 50 heures de ma vie avec Adam Jensen...
Tiens, je croyais avoir shaarlié ce test.
On s’en apercevra bien vite, le gameplay de Mankind Divided reprend le même socle que son prédécesseur et opte pour un large éventail d’options laissées au joueur. On retrouve ainsi un mélange d’action-infiltration mâtiné de RPG, et les missions demanderont grosso modo de relier un point A à un point B en choisissant l’un des nombreux chemins entre les deux. Car ce qui caractérise réellement MD, c’est bien la liberté d’approches - et de résolutions - offertes à quiconque se plongera dans son univers. Que l’on décide de la jouer à la Bourne, Bond, McLane, Rambo, McGyver ou même dans une certaine mesure à la Néo, le titre présente toutes ces approches et permet de jongler entre elles comme bon nous semble, histoire de se créer une expérience à la carte.
Et surtout :
les barres chocolatées magiques ont totalement disparu pour un regain d’énergie uniquement basé sur les Biocells
\o/
Encore une critique (élogieuse) de Deus Ex : Mankind divided.
Ça va c'est bon, vous pouvez arrêtez, je l'achèterai !
Mankind Divided est donc, sans mauvais jeux de mots — ou si, allez —, une suite "augmentée" de Human Revolution. C'est du Deus Ex pur jus, presque à l'ancienne dans ses mécaniques de jeux, mais la qualité de l'univers dépeint, la direction artistique et la solidité du concept le rendent fascinant et tout à fait addictif. En un clin d'œil, les 30 heures sont atteintes et l'on en redemanderait presque. Si vous avez aimé Human Revolution, il n'y a donc aucune raison de ne pas vous précipiter sur le titre. Si vous êtes en quête d'une expérience intelligente et complète, que vous êtes sensible à la science-fiction et que vous n'aimez pas être pris par la main, là aussi, vous pouvez y aller les yeux fermés.
Bon, cette fois c'est sûr je vais l'acheter.
Je vais bien finir par l'acheter ce jeu. J'aime toujours autant son ambiance.
Lien associé : le travail de David Chan, artiste 3D => http://www.davidcreative.ca/dxmd
Un commentaire positif sur Deus Ex : Mankind divided.
Du coup, ce n’est pas dit clairement mais il semble certain que le choix effectué par l’équipe soit de détruire la station, Adam ne voulant pas décider pour l’humanité toute entière. Bien évidemment, Adam et d’autres personnages ont finalement survécu à cela
Oh bin oui dis donc. Tu te prends des milliers de tonnes de béton sur la gueule plus quelques kilomètres d'océan arctique, mais t'es même pas mort, yeah !
Comme souvent, l’approche discrète et non létal étant la plus dure, elle est aussi celle qui est le plus récompensée. D’ailleurs, même les boss peuvent ne pas être tués, contrairement au précédent épisode.
Ah, c'est bien ça :)
L’histoire n’est pas en reste avec ses nombreux rebondissement et sa qualité d’écriture.
Le but de la prothèse est et doit rester de palier à une déficience que l’on a eu au cours de son existence, pas de sublimer l’être humain.
Et c'est bien toute la différence avec le jeu.
via Liandri
Dans un paysage jeu vidéo trop souvent dominé par des productions qui placent le joueur dans un siège bébé, Deus Ex : Mankind Divided choisit au contraire de lui donner un contrôle constant et renforce même sa proposition par rapport à Human Revolution. Les équipes d'Eidos Montréal prouvent qu'elles maîtrisent leur sujet de A à Z par le soin apporté à chaque élément du jeu et surtout la mise en place de systèmes parfaitement ajustés à leurs intentions, quitte à y laisser quelques imperfections que l’on excusera sans cligner les yeux. La recherche d'esthétisme et d'ergonomie dans tous les détails matérialise cet univers, aussi crédible que cohérent, renforcé par une qualité d’écriture qui fait passer une bonne partie des RPG récents pour des épisodes de Oui-Oui. Élégant et délicat, ce Deus Ex est un épisode brillant mais sobre, deux qualités que l’on ne trouve que trop rarement associées et qui font l’apanage des très grands jeux.
9 Excellent
Les plus
- Level design maîtrisé de bout en bout
- Écriture de qualité
- Artistiquement au top
- Compositions musicales de haute volée
- Gameplay solide
- Les quêtes annexes et leurs possibilités
- Dialogues en vue subjective exquis
- Cohérence de l’univers et des protagonistes
- Mode Breach en cadeau
- Terminer l’histoire sans tuer personne
- Terminer l’histoire en tuant (presque) tout le monde
Les moins
- Final un peu timide
- Quelques accrocs techniques
- Synchro labiale inégale
- Les flingues manquent un peu de patate
- Un peu trop de contextuel dans les pouvoirs
- Moins exotique que son aîné
Alors ? Qui croire ?
Je vous livre un avis que j'ai recopié dans les commentaires du jeu sous Steam, il y a quelques jours, et qui m'a un peu refroidi.
4 personne(s) sur 6 (67%) ont trouvé cette évaluation utile
Non recommandé
43.5 heures au cours des deux dernières semaines / 43.5 heures en tout
Posté le : 31 août à 3h16Jeu terminé, y'a beaucoup à dire ... et pas en bien.
Histoire trop courte.
Histoire non complète même.
Ecriture qui laisse franchement à désirer la majorité du temps.
Jensen ... bon, là faut chager de personnage, avoir un héros qui se fout de tout et qui parle comme il si il était sous tranxène 24/24, maintenant c'est chiant ! "i didn't ask for this", et bha moi non plus je demandais pas ça. <_<
Combat final vraiment balourd et chiant (voire ridicule si tu sauves tout le monde).
Personnages secondaires sans épaisseur.
Vega est cool ... mais c'est un clône de Malik, pourquoi ne pas avoir fait revenir Malik au lieu de faire un reskin qui n'a pas de sens ?
La physique du jeu est toujours pitoyable, et il y'a malheureusement quelques passages où elle posera problème.
Il y'a plus de sous quêtes que de quêtes centrées sur l'intrigue principale.
Certaines sous quêtes dépassent le terme "nul à chier" pour atteindre le statut "niveau fallout de bethesda" (si vous voyez une quête autour d'un culte et une autre autour d'un tueur en série => NE LES FAITES PAS ! Consternant est encore un bien faible mot).
La fin tombe comme un cheveu sur la soupe, le jeu s'arrête clairement au moment où l'histoire commence ... yabon les DLC et une "édition définitve director's cut GOTY" ?
Le début du jeu est trop lent à se lancer, après Golem City le niveau devient ENFIN bon ... mais ça retombe presque aussitot.Je ne dis pas tout parce que ça durerait des plombes, mais le gros problème du jeu est qu'il n'a pas de fond: le sentiment d'être dans un jeu cyberpunk n'est intervenu qu'au bout de 17 heures (en arrivant à Golem City) ... pour un jeu Deus Ex, c'est triste. Et le pire c'est qu'après Golem City ... bha t'enlèves les prothèses cybernétiques et t'as un jeu lambda comtemporain où le héros va sauver le monde avec des choix ridicules et pseudo dramatiques (sauve le petit chat ou la grand mère ? Rholalalala, que je suis sous tension avec cette écriture ma bonne dame, du jamais vu ailleurs ... ouais nan, banal et usité jusqu'à la corde, soporifique et sans intérêt pour être honnête).
Sur la forme, en terme purement "mécanique de jeu", oui c'est solide: il y'a ENFIN de la verticalité dans les niveaux, il y'a pléthore de chemins alternatifs, la discrétion est un bonheur ... mais voilà quoi: Deus Ex c'est un gameplay et une histoire qui te motive ! Ici, il n'ya que le gameplay, tout le jeu tu avances en espérant être pris dans une grande histoire, une grande conspiration, une grande aventure ... et en fait tu avances de tableau en tableau avec une histoire décousue et sans intérêt comme fil rouge et qui, comme je l'ai dit plus haut, s'arrête au moment où elle commence.
Ce n'est pas que le jeu est merdique, je l'ai quand même fini après tout, c'est qu'il est creux. Il y'a des passages magnifiques (Golem City, j'en veux tous les jours des niveaux comme ça, d'ailleurs j'aurais aimé une option pour refaire chaque chapitre histoire de pouvoir refaire tout ce passage tant il est magistral), quelques échanges intéressants ... mais il y'a trop de "bof" voire de "putin c'est quoi cette ????? ?" (je le répète: la quête du culte et celle du tueur en série => IGNOREZ LES ! ), un rythme narratif raté et ... et ...
Et bien y'a quand même un truc en particulier qui m'a troué dans l'histoire: Mankind Divided c'est lasuite de Human Revolution OK ?
Et bien le bilan c'est que:
-tu bosses pour une organisation => tu ne sais pas pourquoi
-tu est en fait un agent double => tu ne sais pas pourqoi
-tu connais plein de monde depuis perpète => c'est jamais expliqué
-il y'a deux ans de ta vie qui ont disparu => PUTIN MAIS POURQUOI C'EST PAS UN DES THEMES DU JEU ?Et ça, c'est un peu une pillule qui ne passe pas: ça se sera vendu en DLC sans aucun doute ... et c'est ça le sentiment que done le jeu en fait: un produit destiné à vendre des DLC ou des objets pour un multi dont on se bat les couilles "we didin't ask for this". <_<
C'est triste, mais je suis déçu (en plus y'a les problèmes techniques et l'optimisation à chier qui n'est plus à démontrer), Square Enix ou Eidos, je ne sais pas qui est le responsable mais à 49.99€ c'est clairement du vol, je ne conseille pas à plus de 19.99€.
En attendant autant retourner finir les autres Deus Ex, de toute la série Mankind Divided est clairement le moins intéressant (et oui, j'ai fait The Fall, y'a que Invisible War que je n'ai pas terminé, chiant à faire tourner sur les machines actuelles). :(
L’aventure d’Adam Jensen débuta pour moi dans une ville en plein chaos où je devais infiltrer une base et mettre un terme aux agissements d’un groupe de terroristes. Ce qui m’a tout de suite interpellé, c’est la facilité avec laquelle on retrouve nos repères dans le jeu. Si vous avez joué à Human Revolution, vous ne serez pas dépaysé par le système proposé par Mankind Divided qui reprend en majorité les lignes de son grand frère. Dans cet univers cyberpunk toujours aussi aguichant et fouillé, c’est avec une aisance particulière que l’on avance et arpente les premiers espaces mis à notre disposition.
Plutôt encourageant, donc.