Utiliser l'adresse de son FAI, c'est MAL : généralement, en cas de résiliation, le couple prénom.nom@adresse est refilé sans autre formalité à votre homonyme... ou à n'importe qui qui décide de se créer un compte avec ce login, avec risque d'escroquerie ou d'usurpation d'identité à la clé.
via http://sebsauvage.net/links/?upOtFA
DIX-HUIT EUROS TÉTÉÇÉ. Pour une IP FIXE !!!
Lisez tout. Ça en vaut la peine. J'ai l'impression de n'avoir vu qu'un seul mot : payer, payer, payer, payer... genre rémanence rétinienne.
Je pose ça là pour mémoire. Très instructif cet article.
Ça commence fort : "Ils [les 4 principaux FAI français] sont donc condamnés à se faire payer par les ayants droit pour mettre en œuvre une décision de justice." du coup : "pour un FAI qui n'est pas condamné à le filtrer, il serait totalement illégal de le faire"
La précision sur la confusion entretenue entre FAI et résolveur DNS est instructive aussi. Conclusion qui sera amenée, je pense, à se vérifier de plus en plus dans les sombres années qui s'annoncent : "Les gens qui veulent accéder à un contenu sont d'autant plus disposés à faire un effort qu'on essaye de les en empêcher."
via http://sebsauvage.net/links/?I3r7vQ
Le chiffrement n'est pas l'anonymat, et un vpn ne vous rendra pas invisible... La phrase qui tue : "Allez, fermez les yeux, et imaginez un instant que je travaille pour Universal Music, comment je procéderai à votre avis si je voulais faire la chasse aux petits resquilleurs ? Bingo, je monterai un service de VPN plus ou moins clairement brandé « contourner hadopi », je l’appellerai par exemple Hadopi en verlan…. ça fait djeuns, ça fait rebelz, et c’est surtout un super moyen de diriger (et même capturer) tout le trafic des gros téléchargeurs vers chez moi afin de mieux les identifier… et en plus, pour une fois, ils sont assez gogos pour payer."
"L’ignorance crasse du politique français pour tout ce qui relève des technologies est un arbre qui cache la forêt. Une stratégie que l’on trouve chez beaucoup de jolies filles qui jouent à la cruche en s’appuyant sur les préjugés machistes d’une ‘malheureuse victime’, pour mieux en jouer."
"D’un rêve de machine à punir, en passant sur le papier par une machine à faire peur, l’Hadopi s’avère au final n’être qu’une machine… machinant !"
« On a l’art de construire des lignes Maginot. On peut continuer encore longtemps »