Au delà du fait que des gens cherchent à se faire du pognon avec tout et n'importe quoi (voir en parallèle cet article de LIbération http://www.liberation.fr/societe/2015/01/14/de-la-capote-au-mug-le-business-je-suis-charlie-sur-internet_1179891 avec cette citation extraordinaire : "cet internaute se dit pourtant «solidaire» du journal mais ne voit pas où est le problème : «Mercredi j’ai vu des exemplaires partir à 1 000 euros. Comme j’ai des numéros de Charlie, j’ai fait grimper les prix parce qu’il y a toujours des riches qui ne savent pas quoi faire de l’argent. Ça ne coûte rien d’essayer !», explique-t-il sans aucun scrupule. Un seul regret peut-être : «On est de plus en plus à mettre des numéros en vente donc ça fait baisser les prix, c’est dommage.»" (à propos d'ancien N° de Charlie, mis en vente entre 80 € et ...1 million)
au delà de ce fait donc, ce qui m'intéresse, c'est la justification juridique avancée par l'iNPI : "Ce slogan ne peut pas être capté par un acteur économique du fait de sa large utilisation par la collectivité."