Il aurait été navrant de voir Ubisoft céder à ces demandes empreintes de racisme — d’autant que Yasuke est un personnage établi sur un individu qui a réellement existé. Il est vrai que son statut de samouraï est un sujet de discussion, mais Assassin’s Creed Shadows n’a pas l’ambition d’être un travail universitaire — c’est une œuvre de fiction.
J'en ai marre, mais marre putain... A noter que parmi les racistes les plus virulents, les japonais sont très, très bien placés. Alors qu'ils devraient être théoriquement mieux placés que nous pour connaître l'existence historique de ce samouraï noir.
Au-delà de ça, c'est affligeant de voir un tel niveau de méconnaissance sur comment est fait un jeu vidéo. Eh, oh, vous pensiez vraiment qu'on pouvait retirer le personnage principal du jeu à quelques semaines de la sortie ? Qu'il suffisait de faire "Rechercher-Remplacer" pour enlever un type et le remplacer par un autre ? Non mais purée. Ça ne fait penser à ce truc un peu ancien (2 ans ?) où des gogos s'étaient sentis très forts en faisant fuiter (et si ça se trouve c'était du pipeau..) des images du développement de GTA VI, en disant "oh la la, comment que c'est trop moche, ça va être une catastrophe", et que beaucoup de studios, par solidarité, avaient publiés des images du développement de leur jeu phare, pour montrer à quoi ça ressemble (spoiler : les décors, les textures, les éclairages, ça vient en dernier).
Sinon, je de la peine pour Ubisoft. Pas pour les boss, pour Guillemot et compagnie. Mais pour la boite et les gens qui y travaillent, qui n'ont pas mérités toutes cette merde. Déjà pour toutes ces attaques racistes (qui ne concernent hélas pas que Ubisoft, triste époque dans un monde de merde), mais aussi pour les problèmes financiers qu'ils rencontrent (et même si Guillemot jarte, pas mal d'employé·e·s vont trinquer). Comme l'a résumé Marius Chapuis dans un récent Silence on Joue, il y a 15 ans, ils faisaient des open worlds tout pétés, tous pareils, et ils en vendaient des camions parce que c'était novateur. Ils ont senti le vent du boulet avec Assassin's creed Syndicate, et ils ont rénové la formule avec AS Origins, puis AC Odyssey (mon préféré). Mais pour autant, on a toujours cette impression que "tout leurs jeux sont un peu pareils", et c'est pas complètement faux. Déjà parce qu'au moment où tu te rends compte que c'est en train de mal tourner, tu as 4 ou 5 jeux en cours de développement, et tu peux pas forcément tout foutre à la poubelle(1) pour les faire selon la nouvelle attente du public ; ensuite parce Ubisoft, c'est un gros bateau de 18 000 personnes. Et les gros bateaux (qui a dit "Titanic" ?) , ça ne tourne pas vite, il faut du temps. C'est tout con, mais tu ne changes pas de process industriel du jour au lendemain. Ajoutez à ça des mauvaises décisions prises très en amont, des scandales à répétition de harcèlement moral et sexuel, et des accidents industriel comme le plantage monumental du récent Skulls & Bones ou le Beyond Good et Evil 2 qui est devenu une sorte de vaporware à la Duke Nukem Forever, vous obtenez un mélange détonant.
(1)et pourtant c'est quelque chose qui arrive régulièrement, je vous renvoie à l'excellent livre de Jason Schreier, "Du sang des larmes et des pixels" pour en découvrir d'édifiants exemples.
L’éditeur français de jeux vidéo Ubisoft traverse une période particulièrement compliquée. Son action a chuté de plus de 50% depuis le début de l’année, atteignant 11,70 euros à la clôture vendredi 13 septembre. Ce lundi 16 septembre à l’ouverture, elle s’échangeait même à moins de 11,30 euros. Depuis le plus haut historique du titre, qui avait dépassé les 107 euros en 2018, la dégringolade s’approche des 90%. Cette entreprise familiale créée en mars 1986 par cinq frères, Yves, Gérard, Christian, Michel et Claude Guillemot, est aujourd’hui un mastodonte de l’industrie vidéoludique qui emploie plus de 21 000 personnes, réparties dans plus de 30 studios à travers le monde. Le groupe compte parmi ses franchises les plus populaires Assassin’s Creed, Just Dance, Far Cry ou encore désormais Star Wars. Malgré son indéniable savoir-faire, l’éditeur français suscite de plus en plus la méfiance chez les investisseurs. Le Temps fait le point sur la situation.
La suite est payante !
Ce qui me fait peur, c'est qu'il ne faudrait surtout pas que Bolloré refasse le coup de l'OPA, parce que là, elle aurait toutes les chances de réussir.
Ils sont pas forcément faramineux les jeux Ubi, mais vous imaginer un gros studio de JV comme ça, subir la même transformation que Europe 1 ou le JDD ? J'en ai des frissons dans le dos. Je vois les titres d'ici : "Comment Bolloré utilise les jeux vidéo pour faire passer ses idées [d'extrême droite]".
Bon, ça va peut-être pas arriver hein.
C'est quoi le problème d'Ubi alors ? AMHA, si on met de côté tous les problèmes liés à la "manœuvrabilité" d'un tel mastodonte (21 000 personnes, 30 studios), c'est surtout qu'on a l'impression qu'ils font tout le temps le même jeu : Assassin's creed, FarCry... toujours le même monde ouvert, avec une skin différente, et des milliards d'objectifs qui popent sur la map. Alors, depuis peu, c'est pas complètement vrai : j'ai l'impression qu'ils sont en train de commencer à changer. Voyez ce qui a pu être dit sur le dernier StarWars Outlaws ou sur le jeu adapté d'Avatar : ils tentent des trucs. Leur dernier Prince of Persia a aussi été très apprécié. En revanche, Skulls & Bones, attendu pendant 15 ans, est une catastrophe.
Alors ? Alors je pense que c'est le syndrome du Titanic : on voit arriver l'iceberg, on prend la décision de tourner, mais un gros paquebot comme ça, ça tourne pas vite.
À l’heure où j’écris ces lignes, une des plus belles affaires de l’année est disponible sur Steam. Mais à l’heure où vous lisez ces lignes, si vous êtes resté un fidèle du papier, vous l’avez probablement déjà dans l’os. Jusqu’au 23 septembre, The Crew 2 est à… 1 euro. Cet euro est là, dans votre poche, il ne sert à rien et va probablement disparaître dans un kebab gras dégueulasse. 98 % de réduction, c’est bien beau, mais si c’est pour se retrouver avec un jeu de course sympa — et qui s’est bien bonifié avec le temps — qui finira par fermer ses serveurs et devenir injouable (exactement comme son prédécesseur depuis le 1er avril), non merci ! Sauf que son éditeur vient de promettre de le garder en vie longtemps et, surtout, de sortir un patch offline pour ne pas rééditer son erreur. Il suffit donc de lui faire confiance. Cet éditeur, qui comprend les joueurs, c’est Ubiso… ah, bordel, je savais bien qu’il y avait un piège. P.
A vous de voir ! Au pire, vous perdez 1€.
Lors de sa sortie, Silence en joue avait, je crois me souvenir, plutôt parlé en bien de ce jeu. Je crois que je vais donc me laisser tenter... en dépensant 1€ de mon porte-monnaie Steam, abondé par les stickers virtuels àlac que je m'empresse de vendre dès qu'en je les obtiens. Merci donc à mes environs 33,3 généreux bienfaiteurs qui m'ont donné cet euro.
Le coup de génie d’Ubisoft (une phrase rarement publiée dans ce magazine), c’est de donner le choix à tout moment de basculer entre un samouraï taillé pour l’action et une ninja douée pour se fondre parmi les ombres, afin qu’on ne se tape pas des séquences dont on n’a pas envie. Et pour une fois les deux volets semblent intéressants : côté samouraï, les combats sont lents et brutaux, avec des parades, des contres et des animations de décapitation, ainsi qu’un mousquet à dégainer en cas de coup dur. Pendant le direct ça semblait beaucoup trop facile, mais on connaît la facilité légendaire des vidéos de l’E3, alors j’espère encore secrètement des duels bien techniques à la For Honor.
Les joueurs plus subtils (toutes proportions gardées) devraient prendre du plaisir à contrôler la ninja, capable de se rendre invisible dans l’ombre, de s’accrocher au plafond des maisons, d’égorger les sentinelles à travers les murs de pierre et même de combattre quelques gardes si besoin. Elle aussi semble beaucoup trop puissante, mais là aussi l’optimisme est permis, alors je rêvasse à un Splinter Cell : Chaos Theory médiéval. Sans compter que même si l’équilibrage est aux fraises, ça restera amusant de virevolter sur les toits d’un château japonais. Tout laisse donc présager un Assassin’s Creed à son meilleur, sauf peut-être pour l’écriture car dans la vidéo, Ubisoft a tenu à inclure une nouvelle fois « nous combattrons dans l’ombre… pour servir la lumière ». Les coups de génie, c’est pas à tous les coups.
JE LE VEUX !
Pour rappel, Star Wars Outlaws sera disponible en trois versions :
- Une version standard (79,99 euros)
- Une version Gold, comprenant le Season Pass, un pack bonus "Raid de Kessel" et un accès anticipé de trois jours (119,99 euros)
- Une version Ultimate comprenant les bonus de la version Gold, auxquels s'ajoutent deux packs : "Infiltrée Insaisissable" et "As du Sabacc", ainsi qu'un livre d'illustrations numérique. Le tout pour... 139,99 euros.
On continue avec nos copains d'Ubisoft, qui tente maladroitement d'éteindre l'incendie qu'il a lui-même allumé.
Question con : est-ce qu'une édition vendue 2 fois plus cher promet deux fois plus de temps de jeu ?
Je ne comprenais pas de quoi Seb parlais dans son shaare sur Stop killing games. Pour résumer : Ubisoft ferme la partie multijoueur du jeu The Crew. En l'espèce, le jeu n'est plus jouable. Assumant sa démarche jusqu'au bout, l'éditeur a retiré leur licence aux joueurs : le jeu a disparu purement et simplement de leur ludothèque Ubisoft.
Alors, oui, c'est parfaitement légal (et ne faites pas de recours, c'est une perte de temps) :
Lorsqu’on achète un bien, on s’attend à pouvoir en disposer pour une durée infinie. La seule différence entre un jeu vidéo et n’importe quel autre objet physique est que l’on ne paye pas pour un vrai “bien” justement. Même sans parler des jeux dématérialisés, tous les jeux vidéo même physiques, avec une boite et une notice, ne sont en réalité que des artifices vous donnant accès à un accord d’utilisation de la licence. Cette nuance a toujours existé, mais pose problème seulement depuis quelques années.
Mais ce que je trouve vraiment choquant c'est cette nouvelle illustration de la profonde crétinerie de l'éditeur Ubisoft : en général, quand on tue un jeu, on essaie de ne pas mécontenter trop de monde. Ça arrive très souvent sur Steam où, quand un jeu est retiré du store, les personnes l'ayant acheté pourront continuer d'y jouer (il y a vraisemblablement des exceptions). Quand on s'appelle Ubisoft, qu'on est en pleine perte de vitesse (résultats décevants, des tripochiées de jeux annulés, des jeux récents franchement pas terrible -sauf le dernier Prince of Persia a priori, mais Skulls & bones, il est tout pourri... bref, un modèle qui peine à se renouveler après des années fastes), on essaie de ne pas se mettre à dos les personnes sur lesquelles on compte pour renflouer le bateau (vous l'avez ?), c'est à dire : les joueureuses.
A tout le moins, il aurait fallu une partie solo accessible, fut-elle la partie congrue de l'expérience originelle.
Et au-delà de la connerie crasse d'Ubisoft, qui n'est certes pas le seul à se conduire comme un goret avec ses clients, se pose la question, encore une fois, du patrimoine vidéoludique : je ne dis pas que The Crew était une merveille, mais il faisait partie du patrimoine. Maintenant, il a disparu, et c'est comme s'il n'avait jamais existé. C'est une perte pour l'histoire du média et les recherches à venir.
Pour son Star Wars : Outlaws, Ubisoft veut forcer les joueurs à raquer à coups de DLC et de missions amputées. Les cons.
Au lieu de complètement miser sur leur jeu de base, en y mettant le plus de contenu possible, Ubisoft prend donc le risque de l’affaiblir et de saboter son lancement, en dégoûtant les joueurs d’avance. En effet, une grande partie de ceux-là pourraient juste décider d’attendre que le jeu soit vendu moins cher, plus tard, avec tout le contenu additionnel inclus.
Ben... c'est exactement ce que je vais faire. Et encore, seulement si les retours sont positifs.
J'ai l'impression que quelqu'un s'est bien amusé, à filer la métaphore maritime tout le long de l'article.
J'ai l'impression que le développement du jeu, plutôt qu'un "odyssée", aura été "et vogue la galère" ; mais c'est bien d'en parler quand même.
A propos d'Assassin's creed Mirage (dans une newsletter que je viens de découvrir) :
ça a l'air d'être toujours la même soupe, mais vous devriez y jeter un coup d'œil si vous voulez vous faire un petit trip nostalgie : les retours sont plutôt positifs. On regrettera le manque d'élégance d'Ubisoft, qui a attendu que les tests soient en ligne pour discrètement ajouter Denuvo via un patch day one.
Ah les rats. M'étonne même pas. Je sens qu'il va jarter de ma wishlist celui-là aussi.
Rappelons qu'Ubisoft avait décidé de quitter Steam pour des raisons commerciales, puisque chaque vente est ponctionnée d'une taxe de 30 %. Pour autant, impossible pour le géant français (comme d'autres éditeurs) de se passer de la plateforme de Valve.
Je pouffe.
"Coco, on va balancer un truc avec plein de charabia, et le mot NFT dedans. Tu vas voir, les gens vont A-DO-RER. "
’arrivée des NFT dans Ghost Recon Breakpoint a suscité une réaction prévisible : les joueuses et les joueurs n’en veulent pas. Comme le souligne VideoGamesChronicle dans un article publié le 8 décembre, la vidéo de présentation a récolté tellement de ‘dislikes’ qu’Ubisoft l’a retirée de sa chaîne (on peut toujours la voir en cliquant sur ce lien). Le ratio est édifiant : 1 200 ‘likes’ pour 31 000 ‘dislikes’ (plus de 96 %).
Ah ben non en fait.
Les boulets.
Splinter Cell open-world stealth game reportedly in development at Ubisoft.
Tout est dans le titre. Absolument d'accord avec le redditeur : ras le tronc de vos mondes ouverts "à la Ubisoft", qui sont tous des copiés-collés les uns des autres, avec juste la skin qui change. Hop, des fluos pour Watch Dogs, quelques épées et fourrures pour Assassin's creed... J'aime bien les mondes ouverts, c'est cool, mais arrêtez de croire qu'il faut absolument que tous les jeux aient leur déclinaison en monde ouvert ! (et je rajouterai même : screugneugneu).
Allez, on va encore gueuler sur Ubisoft.
Le cas n'est pas nouveau : Ubisoft ferme des serveurs de vieux jeux. C'est légitime.
Sauf que ces serveurs étaient utilisés pour l'activation du jeu... des DRM quoi. Devant la colère, là aussi légitime, des joueurs frustrés de ne plus pouvoir jouer à un jeu légalement acquis, Ubisoft a réagit avec rapidité, délicatesse et élégance : en retirant le jeu de la vente.
Si Ubisoft a bien confirmé l’arrivée d’un tel titre, l’entreprise n’a pas fourni énormément de détails concernant le format précis d’Assassin’s Creed Infinity. Elle a tout simplement déclaré :
« Plutôt que de continuer à passer le relais d’un jeu à l’autre, nous sommes profondément pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon pognon au sein d’Ubisoft ».
En tout cas c'est mon avis.
Pourquoi ? Parce que c'est arrivé à un tel point que même EA envisage de passer un jeu comme FIFA GRATUIT, tellement ils se font de pognon avec les transactions in-game. Fortnite, voilà le modèle à suivre. Sauf que, comme l'a très bien dit Erwan Cario dans le dernier épisode de Silence on joue de la saison, dans ce genre de jeu -outre dépenser du pognon in-game- on paie avec notre temps. Et le temps, c'est pas extensible. Ce qui veut dire qu'il y a ura, dans cette course au pognon, quelques gagnants qui ne sauront plus quoi foutre de leur pognon (coucou Epic), et des perdants qui vont perdre beaucoup, beaucoup, beaucoup de pognon.
Et si on couple ça avec l'ascension irrésistible du game pass de Microsoft... les 10 prochaines années du jeu vidéo vont faire de la casse. Tant d'un point de vue industriel (des studios vont fermer, surtout quand Microsoft et Epic, qui les tiennent aujourd'hui à bout de bras leur diront "désolé, vous ne correspondez plus à notre catalogue"), que du point de vue diversité du média : pour faire du pognon, il faut rentrer dans le moule.
Assassin’s Creed Valhalla and other upcoming Ubisoft titles will support cross-platform progression at launch, thanks to the new Ubisoft Connect platform, the company announced this week. This means players will be able to move their saves around instead of restarting from the beginning if they change to a different platform.
On Wednesday, Ubisoft announced the death and rebirth of its Uplay and Ubisoft Club platforms as Ubisoft Connect. The new platform will launch alongside Watch Dogs: Legion on Oct. 29, and will be available on both next-gen consoles at or shortly after launch.
Ubisoft va permettre la progression sur plusieurs plate-forme, avec des sauvegardes exportables.
Mal rasé, accroupi contre le mur d’un mas provençal, Michel Ancel sourit avant qu’un renard lui pique son paquet de madeleines. Par cette vidéo de quelques secondes postée sur Instagram le 18 septembre, le plus grand créateur français, le plus connu, perçu comme le plus rock’n’roll, fait ses adieux au jeu vidéo à seulement 48 ans. Face à cette annonce surprise de la star emblématique d’Ubisoft, où il a créé Rayman et les Lapins crétins, l’émotion des joueurs est sincère. Mais au studio de Montpellier, à pied d’œuvre sur le projet Beyond Good and Evil 2 (dit BGE2) chapeauté par Ancel, l’heure est plutôt au soulagement : après plus de sept années de développement, et alors qu’il s’apprêtait à entrer dans sa phase de production, le plus gros titre jamais conçu par Ubisoft - et en France - semblait dans l’impasse.
Le (gros) malaise chez Ubisoft n'a pas fini de faire des vagues.
Au passage, ceci explique pourquoi Silence on joue n'a toujours pas repris : Erwan Cario et Marius Chapuis poursuivent leur travail, et les papiers s'enchainent. Bravo les gars. (mais gaffe à l’émission de 5 heures pour rattraper le retard ensuite !)
En réalité, ce n’est pas un modèle par abonnement mais un accès au jeu pour une durée limitée. Vous payez pour avoir accès au jeu pendant une période et c’est tout. Quand le temps est passé, vous devez repayer pour la durée que vous voulez.
... mais sinon, ce n'est pas un abonnement. C'est pourtant simple, non ? xD
Peu d’entreprises dans le monde connaissent aussi bien la cathédrale Notre-Dame de Paris qu’Ubisoft. En 2014, l’éditeur de jeu vidéo sortait le huitième opus de la saga Assassin’s Creed (baptisé Assassin’s Creed Unity), dont l’action se déroule à Paris. A cette occasion, ses équipes ont réalisé un long travail d’analyse de l’édifice victime d’un incendie ce 15 avril, afin de le répliquer en 3D dans le jeu. Pour lui rendre hommage, Ubisoft annonce ce 17 avril que le titre est disponible en accès libre, durant plus d’une semaine.
Il dit qu'il voit pas le rapport. Ah si, c'est pour se faire de la pub, okay.
Désolé pour le lien BFMerde, mais les sites de jeux vidéo ne passent pas au boulot ^^
Vivendi a vendu, comme prévu, le solde de sa participation dans Ubisoft (5,87 % du capital) pour un montant de 429 millions d'euros, représentant une plus-value comptable de 220 millions d'euros.