Il y a 80 % de chance que vous n’arriviez jamais à cette partie de l’article, mais le but de cet article est de montrer que de multiples techniques commencent à s’émerger et que la propagande commence doucement à s’installer dans les sphères numériques. Il est donc nécessaire de sensibiliser les différents acteurs (étatique, journalistes, professeurs, etc.) pour décrypter ce phénomène le plus vite possible avant qu’il ne soit plus détectable sans disposer des notions de départ. Toutefois, l’ensemble de ses techniques ne diffèrent pas des fondements de la propagande « 1.0 ». Les approches et théories sous-jacentes sont toujours les mêmes, seule la forme change. Parfois de façon assez naïve ou avec du bluff comme certains exemples présents dans cet article l’illustrent. Reste que le plus intéressant est l’intention de départ : la cyberwar sera au centre des occupations très prochainement.
Lu en diagonale mais intéressant.
"Un exercice de cyberguerre virtuelle entre les Etats-Unis et la Chine, conduit à l’université de Harvard il y a quelques années, avait conclu à la victoire de la Chine car elle était moins automatisée que les Etats-Unis, donc moins facile à neutraliser qu’un pays totalement connecté. Le réseau électrique ou les chemins de fer américains, par exemple, étaient alors bien plus vulnérables que ceux de la Chine.
Si ce principe est vrai, la Corée du Nord et ses structures archaïques, qui donnent ce grand trou noir sur les photos satellites nocturnes comparée à ses voisins, devrait être l’hyperpuissance du XXI° siècle...
Plus difficile à attaquer, par exemple, que l’Iran dont le programme nucléaire a été attaqué par le virus Stuxnet développé par les Américains, ou que l’Estonie, l’un des pays les plus connectés au monde, paralysée par une attaque informatique russe en 2007."
Ça me laisse songeur.