"Beaucoup de pédiatres le disent, il y a plus de risques à rester chez soi que d'aller à l'école"
Il a osé.
A sa décharge, il n'est pas tout seul, et la machine à bullshit tourne à plein régime : la porte-parole du gouvernement affirme à tort que l'OMS a recommandé de tester seulement en avril...
Face à un tel esclandre, il était donc légitime d’éclaircir les zones d’ombre d’un personnage sorti de nulle part. Enfin presque… Car Sophie Fessard laisse des traces un peu partout où elle passe. « Elle s’était déjà présentée en victime de l’attaque du Bataclan. Encore auparavant, elle se disait handicapée à cause de mauvais soins. Elle se présentait déjà en fauteuil roulant avant les attentats de Paris et de Nice. J’ai en ma possession des documents médicaux qu’elle a clairement falsifiés », explique une source anonyme de Rouen.
Il ne faut pas chercher bien loin pour trouver des informations. Enfant de la DDASS, elle explique dans son livre publié en 2014, avoir été privée de la chaleur d’une famille. Mais comment peut-on perdre sa famille dans un attentat, si l’on écrit deux ans auparavant ne pas en avoir eu ? Comment poster et liker des commentaires sur Twitter, un peu plus de 24 heures après le drame, alors que « gravement blessée », elle est censée être à l’hôpital ? Contactée par nos soins, la police judiciaire de Rouen confirme qu’elle n’apparaît pas dans le registre national des victimes. Troublant…
C'est la docteur Who.
via Kevin
L’un des tirs du 17 juillet 1974 a provoqué des retombées jusqu’à Tahiti, l’île la plus peuplée de Polynésie. Les retombées sous forme de pluie de ce tir sur Tahiti les 19 et 20 juillet «contenaient du plutonium, l’élément le plus dangereux pour la santé», écrit Le Parisien, suite à la déclassification de documents.
Lien d'origine : http://fr.news.yahoo.com/toute-la-polyn%C3%A9sie-aurait-%C3%A9t%C3%A9-expos%C3%A9e-aux-essais-065548643.html
mais j'y reviendrai sûrement.