Résumé de l'article : une jeune femme américaine a attendu sa nuit de noces pour avoir sa première relation sexuelle, pour respecter une promesse qu'on lui avait fait tenir à l'âge de 10 ans à l'église. Douleur et consternation : ça fait mal, et il n'y a pas eu de musique céleste pour la récompenser de sa longue abstinence. Pire, le lendemain, elle se sentait honteuse, car ayant porté sa virginité comme un étendard durant toute ces années, elle savait que tout son entourage savait qu'elle n'était plus vierge.
Elle a arrêté d'avoir des relations sexuelles avec son mari, qui s'est avéré être un chic type, il faut le porter à son crédit : il l'a compris (ce qui n'était pas acquis d'avance vu le contexte), et incité à consulter. Beau gâchis quand même. (mais ça finit bien, ils baisent et elle ne va plus à l'église ^^)
"As I started to heal, I realized that I couldn't figure out how to be both religious and sexual at the same time. I chose sex. Every single day is a battle to remember that my body belongs to me and not to the church of my childhood." Et attention, révélation : "I'm now thoroughly convinced that the entire concept of virginity is used to control female sexuality."