Tout est question de point de vue, mais j'ai tendance à penser qu'une fessée soulage plus celui qui la donne que celui qui la reçoit...
Pour cette histoire en particulier, je pense comme d'habitude que nous manquons d'informations au fond : il est question d'une plainte déposée par la mère dans un contexte de séparation... Le père s'est-il déchargé de son stress sur l'enfant ? (Cf. ce que je viens de dire...) Les vertus éducatives semblent tout de suite moins évidentes n'est-ce pas ? Et la mère qui porte plainte "juste" pour une fessée, n'y a t-il pas une volonté d'affaiblir et d'humilier son partenaire alors qu'il sont, je cite, "en pleine séparation très conflictuelle" ? Du coup, c'est la défense de l'enfance maltraitée qui devient moins évidente...
Encore une fois, on connait à peine la moitié de cette histoire ; nous avons juste des faits déguisés sous les (bons ?) sentiments.