Je m'interrogeais hier soir (http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?ntj3xw) sur les raisons qui motivaient l'appel de l'évêché (au fond du couloir) dans l'affaire de "l'effacement du baptême" ; Maître Eolas a répondu à mes interrogations : le fait d'être porté sur un registre paroissial n'est pas une atteinte à la vie privée, le baptême étant un acte public. Seule une utilisation à des fins discriminatoires de ces documents - par ailleurs non accessibles au public- serait répréhensible. L'arrêt souligne d'ailleurs avec malice que la seule publicité donnée à cette affaire est due au plaignant...
Concernant l'appel de l'évêché (la porte de gauche bordel, à droite c'est la cuisine !) c'est tout simplement parce que le plaignant ne veut pas seulement être "débaptisé", il veut que son nom soit *effacé" du registre, ce que l'Eglise ne veut pas ; pour ma part, je ne vois pas où est le problème : le registre établi simplement le fait qu'il a été baptisé en 1940, et demandé à ne plus l'être en 2001. Cela ne préjuge en rien de ses opinions religieuses actuelles. Mais lisez donc le billet d'Eolas, il explique tout ça beaucoup mieux que moi.