Une critique très intéressante de Skyrim : malgré son immensité, malgré toute la liberté qu'il laisse au joueur, Skyrim - et c'est un élément que je regrette souvent - est un monde fermé, où les actions du joueur ont finalement très peu de conséquences : "On peut aider l’Empire à reprendre la main sur Skyrim et, en même temps, assassiner l’Empereur. Deux quêtes différentes, que l’on peut faire dans l’ordre que l’on veut, mais qui n’agissent pas l’une sur l’autre." [...] "L’aventurier est comme un fantôme, mort décapité à Helgen ; son âme plane sur Bordeciel et ne laisse comme trace que des actions d’ectoplasme. Vous êtes Bruce Willis."
Au final, la vraie solution pour se sortir de ce dilemme, c'est de jouer roleplay, en s'interdisant de faire telle ou telle chose, ce qui oblige par ailleurs à refaire le jeu en le jouant sous un autre angle pour voir ce qu'on a loupé...