"Le premier ministre lui-même, fortement critiqué durant les débats, n’a pas caché en venant défendre le texte qu’il ne « croyait pas » à ces mesures, qui n’allaient « pas bénéficier à l’économie grecque ». Mais il a assuré que les seules alternatives étaient un défaut chaotique du pays ou une exclusion temporaire de la zone euro, imaginée par l’Allemagne."
Le problème de Tsipras, c'est qu'il n'a pas osé (ou pas pu) jouer la carte du Grexit jusqu'au bout. Qui prône désormais le Grexit en Grèce ? Les communistes et les néo-nazis d'Aube dorée. A ce que j'ai cru comprendre, les communistes ne sont pas intéressés par le gouvernement (ou ne font pas assez de voix ?) Les fachos (et ce n'est pas un abus de langage), par contre...
On est bien bien dans la merde.