"depuis quinze ans, quand un film, notamment de science-fiction, véhicule un contenu politique dérangeant, on le neutralise en le « rebootant », en le refaisant, ou en lui donnant une suite qui affadit ou décale son propos." Bonne critique du nouveau "Robocop" ou Jean-no montre comment, une fois de plus (voir ce billet introductif http://hyperbate.fr/dernier/?p=11179), le remake vide le film d'origine de toute se portée politique.