Ça y est, j'ai fini XCOM 2.
Trop facile.
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Non, j'déconne. En fait, après un téléchargement qui n'en finissait plus, j'ai fait fait une petite séance de 45 minutes, sur lesquelles j'ai effectivement joué très peu de temps, si on peut qualifier de jeu la mission d'initiation où l'on se borne à cliquer là où on nous indique. La vidéo d'intro est bien sympa, mais je reste sur ma faim du coup. Vivement ce soir ^^
Du coup, histoire d'entrenir mon état fébrile (ah ah, jeu de mot : j'ai le bez bouché et j'ai un beu de fièvre, mais c'est pas ça qui va m'arrêter), j'ai été lire la critique sur Gamekult.
Morceaux choisis :
Mais cette délicieuse touche de désespoir bien connue des fans ouvre également de nouveaux horizons à l'expérimentation de type épique. Comme quand une escouade acculée sonne la retraite sans avoir réussi sa mission, qu'un ranger déclenche son pouvoir unique de retour à la furtivité, escalade l'immeuble cible d'un coup de grappin, ouvre une brèche dans le toit juste au-dessus d'un VIP, exécute le malheureux via ce patio improvisé et rejoint ses camarades en pleine fuite. Tout cela en à peine deux tours, alors que l'assaut du bâtiment étage par étage en aurait probablement pris cinq.
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Dans ses deux premiers tiers, XCOM 2 est une longue fuite en avant, qui réserve quelques belles surprises mortelles et exige du joueur d'assumer ses choix, de se repenser régulièrement et de parer au plus pressé un jour après l'autre.
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En résulte un titre qui commet l'impossible : faire passer son aïeul pour une pauvre version de travail mal dégrossie. On y débarque avec les certitudes du vétéran, on s'y fait renvoyer au statut de bleu en quelques heures, on dit merci et on en redemande, chaque jour un peu plus.
Rhaaaa, que le temps passe lentement.