C'est rigolo que l'article dise que l’héroïne retrouve la "vraie vie", parce que Silence on joue n'a pas autant aimé le jeu, notamment pour cette raison : la "vraie vie" mise en scène par le titre -qui n'a pas été réalisé par DONTNOD- fait trop voir qu'elle est en toc. On n'est pas dans la suspension de l'incrédulité, c'est juste pas possible. Le trou paumé, où les gens travaillent soi-disant à la mine mais s'habillent et se comportent comme des bobos/hipsters à bonnet qui écoutent des disques vinyles de rock alternatif, ça ne prend pas.
Attention, ils n'ont pas fait que démonter le jeu, agréable par-ailleurs, avec un pouvoir "vraisemblable" (plus que la télékinésie ou le fait de pouvoir remonter le temps), mais le décor ne colle pas au propos.