Schneidermann a le don de mettre en rapport des éléments que les autres médias occultent, trop occupés qu'ils sont à recopier des dépêches et à se pomper les uns les autres ; ici, c'est faire le parallèle entre le bruit que cause cette fameuse chemise déchirée, et Djamel Chaar, immolé devant une Agence Pôle Emploi, dans l'indifférence quasi-générale.
Le Conseil d’État vient de lui donner raison. C'est sa femme qui va être contente.