La situation des droits des femmes a empiré en 2018, selon le dernier rapport d'Amnesty international. Mais à part ça, les féministes exagèrent.
D’ailleurs, Amnesty International pointe du doigt les politiques sexistes menées à travers le monde. « Un nombre croissant de politiques et de lois visent à soumettre et à contrôler les femmes, en particulier en ce qui concerne leur santé dans les domaines de la sexualité et de la procréation », lit-on.
Le rapport cite en exemples la Pologne et le Guatemala, où « les décideurs politiques défendent un durcissement des lois sur l’avortement », les Etats-Unis et la baisse des subventions aux centres de planning familial, ou encore le Brésil et l’assassinat de la militante Marielle Franco.
"L’Etat a le devoir de prendre les mesures nécessaires pour la protection de tous les citoyens. A noter que les mesures prises dans le cadre de l’état d’urgence ne mentionnent à aucun moment la prévention de la menace terroriste, mais se réfèrent d’abord à la sécurité, l’ordre public et aux intérêts fondamentaux de la nation.
Le spectre des personnes potentiellement visées par l’état d’urgence est donc beaucoup plus large que la réponse aux attaques du 13 novembre à Paris. Il s’agit exclusivement de mesures de police administrative. L'ensemble de ces mesures sont prises par les autorités administratives en dehors de toute enquête judiciaire.
Parce qu’elles portent par nature atteinte aux libertés individuelles fondamentales les mesures prises dans le cadre de l'état d'urgence doivent être nécessaires et proportionnées à l’importance des troubles ou de la menace à l‘ordre public et ne doivent discriminer personne."