Juste une réflexion qui m'est venue ce matin, au croisement de mes écoutes du podcast "Silence on joue" et de ma lecture du livre "Littérature de la pop culture" :
j'entends de plus en plus que la pression des fans sur les réalisateurs et éditeurs de comics, séries et films (Marvel, Star Wars...) serait de plus en plus important, peut-être trop, favorisé par l'instantanéité et l'effet de masse des rézosocios.
Certes.
Mais la prochaine fois que vous entendrez une remarque de ce type (dont je ne remets pas en cause la pertinence, notez bien), pensez également à ceci : après avoir tué son héros dans "Le dernier problème", en 1893, Conan Doyle a été obligé d'inventer quelques années plus tard une pirouette scénaristique pour ressusciter Sherlock Holmes, sous la pression de sa fan-base...