Ah lala ces saloperies de réfugiés qui violent nos femmes, hein ?
Ben heu, en fait… C'était pas des réfugiés.
Et puis heu, en fait… plus de la moitié des agressions recensées ne sont pas à caractère sexuel.
Et tu sais ce qu'il y a de pire là dedans ?
C'est que c'est trop tard, le mal est fait. L'insidieuse idée est rentrée dans l'inconscient collectif : "réfugiés = violeurs"