"Il ne faudrait pas beaucoup forcer l’interprétation pour estimer qu’Adam Jensen est mort dès la fin du premier niveau, au moins symboliquement."
Bien vu. Pour le reste, Deus Ex : Human revolution m'évoque beaucoup les premiers Splinter Cell, avec les mêmes distorsions imposées à la réalité (les gardes qui font des rondes millimétrées, les tunnels d'aération existant uniquement pour faciliter l'infiltration...), l'obscurité ambiante en moins.
En-effet, ce qui faisait en partie le charme des Splinter Cell, c'était cette quasi-obligation de rester dans l'ombre, d'agir la plupart du temps la nuit, ce qui m'a laissé quelques bons souvenirs de jeu : des couloirs où l'on a cassé toutes les lumières, un coucher de soleil sans fin sur une plate-forme pétrolière... DE:HR s’accommode mieux des lieux violemment éclairés, puisque quand il n'y a pas de lieux sombres, c'est le héros qui devient invisible...