On ne parle pas assez de la Tchétchénie et c'est dommage, parce qu'on a là, aux portes de l'Europe, un putain de taré (inféodé à Poutine) placé là après une guerre sacrément dégueulasse (des massacres organisés par Poutine) dont on s'est battu les steaks en regardant ailleurs ; un putain de taré donc, homophobe (et pas un homophobe de salon hein, on parle ici d'enlèvements, tortures et meurtres), islamiste, qui n'a pas grand chose à envier aux talibans. Sa dernière décision, et ce n'est vraiment pas drôle même si, vu de chez nous, ça peut paraître cocasse : interdire les musiques trop lentes ou trop rapides car il faut que
les créations musicales et dansées s'alignent sur la mentalité et le rythme musical tchétchène pour préserver l'héritage culturel du peuple tchétchène
Le dictateur Nicolae Ceausescu avait promulgué un décret interdisant l'avortement à toute femme de moins de 45 ans n’ayant pas au préalable accouché d’au moins quatre enfants. Ce décret sévère a permis à la Roumanie de maintenir un fort taux de natalité (plus de 2,30 enfants par femme jusqu’à 1989) au moment où celui des autres républiques socialistes était en chute libre. En 1989, on a estimé que cette répression systématique de l’avortement avait engendré une surnatalité de deux millions d’enfants. Une majorité d’entre eux a grandi à l’orphelinat.
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