Un wiki très didactique sur les questions de transidentité.
via Seb
Chloë est une femme, transgenre. Elle a passé 16 ans dans une prison pour hommes. Ariana a passé plusieurs mois chez les hommes et elle a menacé de mettre fin à ses jours pour en sortir. Incarcérées selon leur état civil et victimes d'un flou juridique, les femmes transgenres purgent en réalité bien plus qu'une peine en détention.
:-)
https://www.instagram.com/xychelsea87/
Et puis :
Mercredi 17 mai, le jour de la libération de la lanceuse d’alerte, nous apprenions que Laura Poitras (Citizenfour) et Tim Travers Hawkins co-produisaient un documentaire nommé XY Chelsea. Un document qui reviendra sur les sept cent mille documents confidentiels révélés par la militaire, ses sept années de détentions et son combat.
L’avocate de Manning, Nancy Hollander a déjà engagé une procédure en appel afin d’innocenter complètement l’informatrice de WikiLeaks.
Lors de chaque élection, les personnes trans dont l'état civil n'est pas conforme à leur genre vécu hésitent à se rendre dans les bureaux de vote par peur d’être outées. Néanmoins, pour la première fois, une solution a pu être trouvée avec la ville de Rennes pour leur garantir d'exercer sans stress leurs droits civiques.
La solution est pourtant simple :
Petite avancée cette année : pour la première fois en France, une mesure a été prise à la veille du scrutin présidentiel par les services des élections de la ville de Rennes pour respecter le droit à la citoyenneté et le respect à la vie privée des électeurs et électrices trans rennais. Cette disposition est le fruit d’une concertation entre le CGLBT de Rennes (soit, le Centre LGBTI) et la Direction des prestations administratives à la population de la ville bretonne. Ainsi samedi, «des instructions claires» seront envoyées aux présidents des bureaux de vote, d’une part pour que le titre de civilité (M., Mme, Mlle) ne soit plus énoncé puisqu’il ne fait pas partie de l’état civil, d’autre part pour que toute personne qui souhaite que son prénom ne soit pas énoncé voit sa demande concrétisée.
« Je fais partie des gens chanceux. Avoir un soutien familial et les moyens de se payer docteurs et thérapeutes m’a donné la chance de survivre à ce processus. Les transgenres sans soutien, moyens et privilèges n’ont pas ce luxe. Et beaucoup d’entre eux ne survivent pas. »
Voilà.
"Il y a comme un tabou à faire tomber dans l’Hexagone."
Des histoires d'ados transgenres.
TIL : "dysphorie de genre"
via http://cochi.se/links/?hKIZLA
"Tendance troublante à la restriction de la liberté d'information" : c'est le moins que l'on puisse dire.