Vu sur Brief.me :
L’artiste de rue Lorem peint au marqueur sur des objets mis au rebut dans la rue, comme des planches ou des miroirs. Il prend ensuite une photo de ses œuvres et invite ses abonnés à venir les chercher. Ces objets abandonnés redeviennent ainsi désirables, pour le plus grand bonheur de cet artiste à la fibre écolo, comme il l’explique dans [cette] vidéo de France Culture.
Je n'avais jamais vraiment pris conscience de la taille du David de Michel-Ange : 5,17 m quand même !
Sympa : quand les personnages du tableau semblent interagir avec leur cadre.
Ses tableaux ne montrent pas la même chose selon la distance à laquelle vous les regardez. C'est impressionnant hein ? C'est filmé à Dijon, je les ai vus en vrai ^^
Fun fact : il y a même des neurologues qui s'intéressent à ce qu'elle fait, parce qu'ils pensent qu'elle ne doit pas avoir le cerveau comme tout le monde pour arriver à faire ça !
Je ne savais pas que François Fillon s'était lancé dans l'art contemporain.
«Cette toile n'est une œuvre d'art que si je ne rends pas l'argent.» L'artiste explique: «Mon travail consiste à avoir pris leur argent. Ce n'est pas du vol. C'est une rupture de contrat, et la rupture de contrat fait partie du travail», avant de poursuivre: «J'encourage les personnes qui ont des conditions de travail aussi misérables que les miennes à faire la même chose. Si vous êtes coincé dans un emploi pourri et mal payé, prenez ce que vous pouvez et fuyez.»
Cela n'a pas suffi pour convaincre le tribunal danois, qui se range du côté du musée Kunsten. Ce lundi 18 septembre 2023, il a ordonné à l'artiste de rendre les 71.000 euros destinés à la réalisation des deux tableaux. Pour se consoler, il pourra tout de même garder sa «misérable» rémunération de 5.400 euros.
La banane la plus célèbre du milieu de l’art a encore été mangée. Faisant partie d’une célèbre installation de l’artiste italien Maurizio Cattelan au Leeum Museum of Art de Séoul, en Corée du Sud, le fruit, simplement scotché à un mur blanc, a été détaché puis épluché et consommé par un étudiant en art.
Devant des spectateurs stupéfaits, celui-ci a ensuite rattaché la peau de la banane au mur à l’aide du même ruban adhésif, avant de s’en aller avec un sourire satisfait.
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David Datuna avait par la suite déclaré au Guardian que même s’il considérait Maurizio Cattelan comme « un génie », il n’était pas d’accord avec l’énorme quantité d’argent qu’il gagnait à partir d’une banane coûtant seulement 20 centimes d’euros.
« J’ai voyagé dans 67 pays du monde au cours des trois dernières années et je vois comment les gens vivent. Des millions de personnes meurent de faim. Et il met trois bananes sur le mur pour un demi-million de dollars ? », s’était-il indigné à l’époque.
Le problème n'est pas tant de dire que le jeu vidéo ne pourrait pas être de l'art parce qu'il ne soutient pas la comparaison avec les grands romanciers, les poètes ou les réalisateurs. Le problème, c'est de croire que, pour être légitime, le jeu vidéo devrait soutenir cette comparaison et qu'il devrait, d'une certaine manière, ressembler à quelque chose qui existe déjà.
Je ne connaissais pas cette peintre. Chouette.
Encore une connerie autour des NFT. Avec une œuvre de Frida Kahlo brûlée pour de faux.
Je viens de tomber là dessus ; pas jeune (2018), mais toujours pertinent : Frida Kohla n'était, ne doit pas être une idole pop. Mais alors, pas du tout.
Je vous dit juste "Cédric Peyravernay, Character Designer et Concept artist" et vous devinez sur quels jeux il a travaillé. Chut, on ne souffle pas au fond.
Quelques dessins (aquarelles ?) du concept artist de Life is strange 2.
Le saviez-tu ? Au XIXème siècle, les vaches anglaises étaient... carrées ! Dans les tableaux en tout cas.
Moui. Ai-je déjà dit que j'avais du mal à être convaincu par le bla-bla d'Aurélien Bellanger ? Et encore, je trouve plus supportable de le lire que de l’entendre.
TL;DR : en Espagne, n'importe qui peut faire n'importe quoi sur des tableaux d'une valeur inestimable. Ça fait rire, mais c'est triste.
Le redditeur HahLolNo reprend les lieux emblématiques de Skyrim en dessin. Très joli.
Banksy, qui vient d’ouvrir une fausse boutique éphémère à Londres baptisée Produit intérieur brut, tente encore de se débattre. Pour contrecarrer la commercialisation de ses images par un marchand de cartes de vœux, il a réalisé cette grande installation et en vendra par la suite des "souvenirs" sur Internet, en reversant les fonds à un bateau de sauvetage de migrants. En réalité le voilà auto-piégé, contraint de faire à son tour du produit dérivé le seul levier juridique qui permet d’empêcher une autre entreprise de le faire.
Celui qui se voulait "échappé de la boutique de souvenirs" - pour reprendre le titre de son documenteur Exit Through the Gift Shop sorti en 2010 - s’y est aujourd’hui enfermé. Et, symbole suprême de cet empêchement, son autoportrait en rat au cutter a été dérobé pour être revendu.
C'est triste.
Qui était Simonetta Vespucci, cette muse des peintres de la Renaissance ? Était-elle la première des "Joconde nues" ?
Oui, c’est un peu le parti que nous prenons. Elle était une espèce d'aïeule de la Joconde nue, et de la Joconde. Cette jeune femme était connue comme la plus belle des Florentine. Elle a été l’objet des amours platoniques de Julien de Médicis. Elle disparaît très précocement des suites d'une phtisie en 1476, et cette mort brutale va propulser son mythe : elle sera célébrée comme la plus belle des femmes, on va chanter ses louanges... Elle va être quasiment divinisée, assimilée à Vénus, la déesse de l’amour et de la séduction. Cette Simonetta sera représentée par Piero di Cosimo, Botticelli, et d’autres artistes. Elle va être le parangon, l’image de la beauté idéale, qu’on va représenter dénudée.